Sans corps, sans mort il n’est pas de lumière offerte à ce qui respire. Chez
Nadia, l’apparence appelle autant de couleurs que l’esprit le désire, mais il lui faut
pour cela aimer des silhouettes, des animaux, des pétales, des ciels sauvages. Une
empreinte s’attarde en guise de visage alors qu’en noir et blanc, à la source de la
démarche artistique, un dialogue cherche à aimer, à survivre, à se souvenir d’une
fête. 2020. La terre impose des frontières coupantes. Nadia dessine l’envers mis à nu
de la solitude ; puis des arbres, des masques, des profils perdus vont jusqu’au bout
d’eux-mêmes, fous de l’encre nocturne au risque d’aveugler tout espoir. Mais voici
que reviennent, couronnés d’or et de silence les visages o si différents pour être passés
par la mort ! Cascades. Soies. Lignes bleues. Auréoles. On joue de nouveau. On
dépose un corps, oui, mais pour qu’il revive.
Nadia, l’apparence appelle autant de couleurs que l’esprit le désire, mais il lui faut
pour cela aimer des silhouettes, des animaux, des pétales, des ciels sauvages. Une
empreinte s’attarde en guise de visage alors qu’en noir et blanc, à la source de la
démarche artistique, un dialogue cherche à aimer, à survivre, à se souvenir d’une
fête. 2020. La terre impose des frontières coupantes. Nadia dessine l’envers mis à nu
de la solitude ; puis des arbres, des masques, des profils perdus vont jusqu’au bout
d’eux-mêmes, fous de l’encre nocturne au risque d’aveugler tout espoir. Mais voici
que reviennent, couronnés d’or et de silence les visages o si différents pour être passés
par la mort ! Cascades. Soies. Lignes bleues. Auréoles. On joue de nouveau. On
dépose un corps, oui, mais pour qu’il revive.
Régis Roux ; le 18 mai 2023.